« Crise, dette, chômage : qui crée l’argent ? » : un documentaire de Gabriel Rabhi
La monnaie fait partie de notre quotidien. Elle est au cœur de nos économies : elle permet les échanges des biens et des services. Pourtant, rares sont les personnes sachant vraiment qui la fabrique, et comment elle fonctionne. Car c’est bien l’incompréhension du système monétaire par la majorité des citoyens qui permet à la finance et aux banques de régner sans entraves.
Ce documentaire réalisé par Gabriel Rabhi, fils de Pierre Rabhi que vous connaissez certainement, décrit de façon très pédagogique l’histoire de la monnaie, la création monétaire et les enjeux de son contrôle. En partant de ce que tout le monde connaît, ce document explique les fondements des systèmes monétaire et bancaire, et en décrypte certaines conséquences. Dans la seconde partie du documentaire, l’auteur incorpore au côté purement didactique du film sur le système bancaire, un côté plus idéologique ou philosophique, avec les critiques de la démocratie et du système médiatique, ce qui forme une combinaison utile à la convergence des idées novatrices sur ces sujets.
Le film ci-dessous, fruit de 6 mois de travail de la part de Gabriel Rabhi, dure quasiment 2h00. Vous pouvez trouver sur le site inter-agir.fr une version plus courte de 45 minutes, mais nous vous conseillons évidemment la version longue, bien plus complète.
Duncan McLéod
Et en vidéo bonus, nous vous proposons cette toute récente interview d’Etienne Chouard, réalisée par La Mutinerie.
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l’anneau de Gygès! par Platon
Serions-nous incorruptible si nous étions invisible?
http://www.dailymotion.com/video/x178cas_l-anneau-de-gyges-platon_school
Platon, le philosophe qui raconte cette histoire, nous pose la question : « Si nous possédions
l’anneau de Gygès et étions sûrs de ne jamais être punis, en profiterions-nous pour voler, tuer
et faire tout selon notre bon vouloir ? »
Autrement dit, est – ce que nous évitons de faire le mal parce que nous pensons que c’est mal, ou est – ce par crainte des punitions, du châtiment ?
Ecrire sa constitution ensemble aux yeux de tous; pour être visible de tous; est une clé de départ pour construire un système politique vertueux !
MONNAITARISME
“Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je n’aurais pas à me soucier de ceux qui font ses lois” Mayer Amsschel Rothschild
“Interdisez le prêt à intérêt, et je me fous de savoir qui contrôle la monnaie d’une nation, il est désarmé.”
En cédant son droit régalien à battre monnaie en faveur d’une banque centrale entièrement indépendante, et par conséquent en réduisant son peuple en esclavage, l’état et ses représentants se sont livrés à un acte de haute trahison.
Si, dans des temps anciens, l’argent était une denrée rare, car adossé à l’or ou autre matière précieuse, il n’est aujourd’hui assujetti à aucune matière première et est purement virtuel.
Ceci bouleverse les paradigmes, et nous devons dorénavant penser la société et son mode de fonctionnement comme une société d’abondance et analyser la situation actuelle, où 35000 personnes meurent de faim et de mauvaises conditions d’hygiène par jour sur cette foutue planète, comme la volonté politique d’une oligarchie sans scrupules.
Ce qui semblait évident et que nous acceptions avec fatalisme, cette situation de pénurie et son cortège de drames et d’injustices, apparait désormais comme un leurre d’autant plus insupportable que l’information circule et que son éradication semble à portée de main.
Ce qui signifie concrètement que nous devrions pouvoir en disposer à volonté (de l’argent), ou du moins en créer proportionnellement aux richesses produites de manière à pouvoir faire circuler ces fameuses richesses et garantir à chacun bien être et sécurité matérielle.
Pour cela, il eut fallut que ceux qui détiennent le pouvoir de battre monnaie (c’est-à-dire de créer de l’argent par un simple jeu d’écriture comptable, pour faire simple, les banquiers) se soucie du bien être de l’humanité, et non de l’accumulation de capitaux pour leur propre compte.
Ne vivant pas au pays des bisounours, il est bien évident qu’il va nous falloir nous réapproprier ce pouvoir, et que cela ne se fera pas sans certaines tensions.
Il nous faudra accompagner cette réappropriation par l’interdiction du prêt à intérêt, qui pouvait être justifié du temps ou les banquiers prêtaient effectivement une partie des sommes qu’ils possédaient (bien que dans les faits, l’argent ainsi prêté ne leur appartenait pas, mais était celui de leurs clients). Ce qui n’est plus du tout le cas aujourd’hui.
La suppression du prêt à intérêt devraient automatiquement entraîner une baisse générale du prix des biens de consommation d’en moyenne 30%.
L’intérêt exigé par les banquiers ne correspond plus ni à un risque, ni à un bien dont se priverait le prêteur.
L’intérêt exigé par les banquiers, par un paradoxe qui nous fait perdre la tête, n’est pas créé par ces fameux jeux d’écriture, et l’emprunteur se voit dans l’obligation de le trouver dans la masse de monnaie en circulation, masse en nécessaire perpétuelle insuffisance face aux exigences bancaires. Ce qui occasionne une concurrence effrénée entre les emprunteurs pour trouver cet argent qui n’existe pas et qui ne peut se puiser que dans de nouveaux emprunts, qui eux-mêmes engendreront de nouveaux intérêts qui eux-mêmes…
Ce système de l’argent dette nous pousse dans une économie en perpétuelle croissance, ponctué de crises récurrentes, c’est-à-dire à un suicide collectif dans un monde fini.
L’argent dette ainsi accumulé par les banquiers se concentre dans des bulles financières qui finissent obligatoirement par exploser, les arbres ne montant au ciel que dans les livres pour enfants. Chaque explosion engendre une crise de liquidités, aux conséquences dramatiques sur l’économie réelle.
Petit raccourci du piège économique ;
1913 : création de la FED, banque centrale américaine, sur le modèle de la banque allemande. Enorme subterfuge qui permet aux banques de s’approprier le privilège exorbitant de la création monétaire. A partir de cette date, l’état US devra emprunter avec intérêt aux banques privées l’argent dont il a besoin.
1914 : création de l’impôt sur le revenu. Il faut bien que les états se financent pour payer les intérêts que les banques réclament, suite aux prêts qu’elles accordent aux états, et parallèlement financer la guerre de 14/18
1939/1945 : guerre de 1940, les USA exportent à tout va, l’or afflue dans les coffres.
1945 : Création du plan Marshall, accords de Brettons Wood, La suprématie du dieu dollar se met en place, reconnu comme unique monnaie internationale, le dollar seul garde la convertibilité en or. Les apparences sont sauves.
1971 : Fin de la convertibilité du dollar en or. Désormais, la FED peut imprimer autant de dollar qu’elle veut, sans plus de limite. Les USA peuvent tout acheter.
1995 : création de l’OMC, suppression des dernières protections économiques, instauration du libre échange et fin des protections douanières (en effet, il ne suffit pas de pouvoir tout acheter, encore faut-il que tout soit à vendre). Les capitaux se déplacent désormais sans aucune contrainte. Le libéralisme triomphe, les états s’endettent dans une spirale infernale et sont à genoux devant les marchés.
2016 : à venir, le grand marché transatlantique, qui instaurera la suprématie légale des trusts internationaux sur le droit des états nations.
http://democratisme.over-blog.com/article-monnaitarisme-122570606.html
1939/1945: petite rectification: l’or afflue dans les coffre US parce que nous (européens: Angleterre, Pologne, Belgique et France) leur CONFIONS nos réserves d’or (plus de 900 tonnes pour la France) qu’ils nous rendrons JAMAIS ! ce qui justifie Breton Wood: “on garde l’or et on vous met à disposition -sous forme de prêt- des dollars .
Par ailleurs, à partir du 17 juin 1940, le pouvoir change de main (qui revient à Pétain), et l’or qui reste de notre stock est envoyé au Sénégal (et pas en Amérique) puis acheminé à Kies au Mali. C’est la seule et unique justification de la “bataille de Dakar” conduite par de Gaulle sur des navires britanniques: reprendre l’or. C’est cet or qui va permettre une reconstruction rapide de l’économie française d’après guerre. Voilà la réalité cachée, il fallait que cela soit dit.
Je ne cesserai de réagir face à cette vidéo que j’ai découvert tardivement (qu’hier et je l’ai déjà partagé plus de trois fois via Facebook en quelques heures).
Je tiens à dire juste une chose, la vidéo est simple et claire, et elle veut juste montrer une chose :
– QUE LA BCE EST ISSU D’UNE CLASSE SOCIALE SUPERIEURE QUI N’A POUR INTERET QUE L’ARGENT
– QUE CETTE CLASSE SOCIALE EST NEE DU FAIT QUE LES SOUVERAINS (les plus forts,plus malin, plus intélligent,plus beaux je ne sais quoi…) VOULAIENT S’APPROPRIER TOUTES LES RICHESSES (donc ce sont des personnes qui sont égoistes et méchantes qui du jours au lendemain on attaqués des peuples pour leurs richesses)
POUR RESUMER TOUT CE QUI EST EN AVAL DE CETTE APPROPRIATION/PRIVATION DE POUVOIR N’EST QUE PURE FANTAISIE ET CELA NE SERT A RIEN DE DEBATTRE DESSUS ! DONC PARLER DE QUI A EU LE POUVOIR OU PAS EST INUTILE !
IL FAUT JUSTE AVOUER QUE L’ON C’EST FAIT ENTUBE ET PRENDRE NOS COUILLES POUR REPRENDRE LE POUVOIR !
C’EST CELA QUI NOUS DIVISE, SI A CHAQUE FOIS NOUS CRITIQUONS OU REMETTONS EN CAUSE, UNE CAUSE GÉNÉRALE (en l’occurence qui crèè la monnaie), ON EN OUBLIE LES TENANTS ET ABOUTISSANTS DE CETTE CAUSE, POSONS NOUS LES BONNES QUESTIONS ET ARRETONS DE DEBATTRE SUR DU SUPERFICIEL, A QUAND UN GRAND REGROUPEMENT ??????!!!!!!!
MOTIVE OU PAS????
Motivé ? à fond !!!
Nombreux aussi.
Chaque chose en son temps.
Nous nécessitons une organisation indépendante.
Et elle ne vas pas tarder.
Restons connectés, et confiants en notre solidarité.
Alors ?? C’est quand le regroupement
Si et seulement si Gabriel pouvait nous dire qui finance la construction des banques central, la construction ou la paye des machine qu’elle utilise. je suis sûr que l’ arnaque va bien au delà des banques privé. alors forcément la banque centrale est forcément redevable envers ceux qui on financer sa création… ses actionnaires….