Le 22 février 2017, Antonio Guterres, le nouveau secrétaire général de l’ONU, lançait un cri d’alarme concernant la famine sévissant au Nigeria, au Sud-Soudan, en Somalie et au Yémen. A cette occasion, il invitait tous les membres de la « communauté internationale » au financement d’opérations humanitaires d’urgence, mais sans évoquer les causes structurelles conduisant régulièrement à la mort de millions d’êtres vivants. […]
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